22 Mars 2013
1 et 2 : plaza de armas d'Arequipa - 3: gateaux Peruviens - 4: peleas de toros - 5: elevage de taureaux de combat - 6: Queso helado - 7 : Cuy (= cochon d'inde) miam miam
Bonjour a tous. Nous sommes depuis une semaine déjà a Arequipa (2eme ville du pays) et première ville au nombre de pigeons :-). Nous logeons chez des amis a Roman et Darlith.
Description d'Arequipa : les Arequepeniens sont très fiers de leur ville, ils se disent Arequepeniens avant d’être Péruviens. Ils possèdent leur propre drapeau et leur propre hymne. Ils ont aussi beaucoup de coutumes propres a eux comme la gastronomie (notamment le Queso Helado) ou leurs combats de taureaux (Peleas de Toros).
Histoire d'Arequipa : ville frappée régulièrement par les séismes dont un chaque siècle environ qui détruit la ville partiellement (le dernier important a eut lieu en 2001 et l’église de la Plaza de Arma s'est effondrée sur ces occupants==>de nombreux morts). En 1865, la ville a connu son plus terrible tremblement de terre, 8 sur l’échelle de Richter pendant 3 minutes détruisant la totalité de la ville sauf un petit quartier, seul vestige de l'ancienne Arequipa.
On a très bien été accueillis ici, leur façon de percevoir les Gringos est différente de tout le reste du pays. Ils ont comme objectif de ne pas prendre les touristes pour des machines a sous, et que plus le touriste se sentirait bien, plus il dépenserait. Pas de rabatteurs ici, pas de "voleurs" dans le sens ou personne ne vous coure après pour vous vendre des treks.
On a donc décidé de profiter un peu et de découvrir leurs coutumes.
La Gastronomie : variée et différente du reste du pays, Queso Helado, Queso Frito, Chicharrones de Poulpe, la bière (a leur nom bien sur : La Arequepeña)
Les combats de Taureaux (Peleas de Toros) : tous les dimanches, des taureaux s'affrontent entre eux, et c'est une arène pleine qui parie sur le taureau vainqueur. Nous avons pu assister a quelques combats et ce n'est pas violent comme on s'y attendait. Des que l'un des taureaux se sent plus faible, il se retire de lui même et les taureaux en ressortent en général très peu blesses, juste bien essouffles. Nous avons lie amitier avec José, un jeune Péruvien . . . Arequepenien pardon de 19ans très fêtard (d'ailleurs ce soir c'est discothèque avec lui et ses amis).
Et justement un de ces amis et un éleveur de taureaux de combats. Nous sommes donc allés faire un tour chez lui afin d'admirer les taureaux de près (voir les photos) et se renseigner un peu sur cet élevage.
Sinon tout va bien on s'amuse beaucoup, on en apprend tous les jours, on s’améliore en espagnol (leur alcool local : le Pisco aide beaucoup pour parler espagnol mdr),